FAQ
Elaboration et dépot de projet
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Partenariat
1A l’issue de l’évaluation des pré-projets, le Comité de pilotage peut décider de la pertinence d’un opérateur au sein d’un projet. Dans ce cadre, un opérateur pourra effectivement intégrer un partenariat au stade du dépôt de projet.
De même, le partenariat peut être adapté à l’initiative des opérateurs après que le pré-projet ait été instruit sous réserve d’une justification probante.2Chaque opérateur ne peut sélectionner qu’un versant. Un opérateur belge devra donc s’identifier en tant que partenaire flamand ou wallon. Comme critère, vous pouvez par exemple prendre le lieu d’établissement de l’organisation ou la langue de la personne de contact. Ceci peut être capital étant donné qu’en tant qu’opérateur chef de file flamand/wallon, vous vous voyez automatiquement attribuer l’antenne de l’Equipe technique flamande ou wallonne comme point de contact.
3Un opérateur (ou associé) peut se situer en dehors de la zone éligible du programme pour autant que l’impact de son action se trouve en zone éligible. Comme pour tout opérateur, sa contribution dans la mise en œuvre du projet, par ses moyens ou ses compétences, devra être justifiée dans la fiche pré projet/projet.
4Un projet ne peut être représenté comme partenaire. Des précisions relatives aux antécédents du projet et aux synergies sont demandées dans la partie 1 de la fiche projet : continuité d’un projet financé dans le cadre du programme FWVL, autres programmes Interreg, autres fonds européens.
5Le choix, en tant qu'opérateur, de reprendre ou non les deux structures juridiques dans le projet dépend en grande partie de qui paiera les frais dans le cadre du projet et de qui aura par conséquent droit à l’aide européenne. Seule la structure juridique qui paie les dépenses et dont le compte bancaire est débité de ces dépenses peut prétendre à l’aide européenne. Ce n’est que si une des deux entités juridiques effectue des dépenses qu’il est conseillé de faire de cette entité un opérateur. L’entité qui ne prévoit aucune dépense dans le cadre du projet, mais qui prête sa collaboration au projet peut être reprise comme partenaire associé dans le projet.
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Montage du projet
1Dans la mesure où le pré-projet est validé au terme d’un processus d’évaluation, les seules modifications autorisées sont celles qui sont soit, demandées par le Comité de pilotage (instance décisionnelle), soit qui ne sont pas d’ordre à modifier la nature du projet.
Considérant qu’au stade du pré-projet, chaque opérateur est tenu de renseigner une estimation budgétaire, le budget peut être revu et modifié au moment du dépôt du projet. Pour autant, les ajustements opérés doivent rester à la marge et se justifier.2Dans les deux fiches de projet, il faudra donner une description des compétences et de l’expérience pertinentes pour le projet par opérateur (y compris pour les associés). En outre, lors de la description des modules de travail proposés, il faut aussi clairement mettre en avant le rôle des opérateurs (associés) dans le cadre de l'exécution des activités du projet.
3Il est possible que les différents modules de travail d’un projet soient exécutés par différents opérateurs et à un niveau géographique différent. Cela dépendra notamment de l’objectif général du projet et de la portée géographique des activités/résultats du projet. À cet égard, il est important que l’impact géographique global du projet tel que décrit dans la fiche de projet continue d’être respecté.
4Un projet Interreg qui s’inscrit dans la continuité d’un précédent peut tout à fait garder son acronyme pour autant qu’il se limite à 20 caractères. De manière générale et pour des raisons évidentes de communication, l’acronyme doit être accrocheur et facilement mémorisable aussi bien en français qu’en néerlandais.
5Un investissement en soi est rarement transfrontalier car il se situe bien souvent d'un côté ou de l'autre de la frontière. L'appréciation du caractère transfrontalier de l'investissement se fait au niveau de sa destination. Par exemple, le Radar du Nord (radar météo) financé dans le cadre d'Interreg III a été installé sur le territoire français mais cet équipement a une couverture "radar" très large s'étendant des deux côtés de la frontière. Cet investissement est donc transfrontalier par destination.
On peut tout aussi bien donner des exemples d’investissements qui ont été réalisés juste sur/à la frontière et qui font l’objet d’un financement conjoint, comme par exemple la réalisation d’un tunnel ou d’un pont.6L’opérateur chef de file a une tâche importante dans le cadre du partenariat du projet. Non seulement il contribue aux activités du projet, mais il remplit en outre un rôle de coordination en ce qui concerne l'ensemble des modules de travail du projet. De plus, l’opérateur chef de file est également le pivot administratif d'un projet, comme par exemple pour la conclusion de contrats, ainsi que pour la demande et le versement de l'aide européenne pour l'ensemble du partenariat. Dans ce sens, l’opérateur chef de file doit disposer de la capacité administrative et de l’expérience nécessaires et/ou prévoir les moyens humains et financiers suffisants pour remplir la tâche correctement.
7Après l’évaluation des pré-projets, le Comité de pilotage peut formuler des recommandations/remarques. Une de ces recommandations peut en effet consister à restructurer plusieurs projets en un nouveau projet ou à intégrer plusieurs projets dans un portefeuille de projets nouveau ou existant.
8C’est bien le chef de file du projet pilote qui est responsable du dépôt du (pré)-portefeuille dans l’application de gestion. Par contre, au niveau de l’encodage, chaque chef de file des projets constitutifs introduit les données de son pré-projet.
9Il est nécessaire de créer dans un premier temps le portefeuille. Sur la base de données, c’est bien la création du portefeuille qui permet d’obtenir les droits d’accès pour introduire les projets constitutifs.
Toutefois, il est possible que le Comité de pilotage demande le rattachement d’un pré-projet déposé seul à un portefeuille. Dans ce cas, le projet déposé pourra être intégré au portefeuille a posteriori. -
Budget et financement
1L’imputation par année est calculée automatiquement par l’application de gestion, mais reste indicative.
2Sur le principe oui, mais les cofinancements pourront être plafonnés en fonction de l’application des règles d’attribution des aides d’Etat.
3Le taux est identique aux autres partenaires.
4Non, l’application du taux FEDER se fait de manière linéaire sur toutes les dépenses.
5Oui s’il s’agit d’un cofinancement spécifiquement accordé pour la réalisation du projet. La preuve est apportée par la production d’une délibération, convention, notification de l’octroi d’un subside, etc. Les cofinancements de fonctionnement, classiques et récurrents, ne doivent par contre pas être prouvés.
Sur le versant wallon, les cofinancements spécifiques sollicités auprès de la Région wallonne ne doivent pas être démontrés par les opérateurs.6Oui, un chef de file peut être cofinancé par les autres partenaires. Cette dépense est toutefois inéligible dans le chef du partenaire qui octroie ce cofinancement.
Gestion de projet
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Suivi financier – Généralités
1Des avances FEDER ne sont pas prévues. Chaque cofinanceur a ses propres règles en la matière et doit dès lors être consulté.
Pour les micro-projets, une avance équivalente à 50% du subside FEDER sollicité, est versée automatiquement au chef de file, après que la convention Feder ait été signée par toutes les parties.2Oui, pour autant que les règles de mise en concurrence soient respectées. Ce n’est par contre pas autorisé entre opérateurs (partenaires et associés) d’un même projet.
3Chaque opérateur est responsable des dépenses qu’il réalise dans le cadre du projet et est le seul à devoir rembourser en cas de défaillance.
4Si le projet n’atteint pas les résultats indiqués dans la fiche de projet approuvée, cela n’entraînera pas automatiquement le remboursement de l’aide européenne pour autant que les opérateurs puissent le justifier. Si, toutefois, les opérateurs n’ont pas épuisé tous les moyens pour parvenir au résultat souhaité ou si le Comité d’accompagnement constate des manquements graves dans le chef des opérateurs, le Comité de pilotage du programme peut décider de récupérer (une partie de) l'aide européenne.
5Chaque opérateur doit conserver toutes ses pièces justificatives sous format papier jusqu’au 31 décembre 2030, date ultime à laquelle un contrôle sur place peut intervenir.
6Le partenariat d’un projet peut évoluer au cours de sa mise en œuvre : retrait ou ajout d’un ou plusieurs opérateurs.
En cas de faillite d’un opérateur, les opérateurs doivent reconsidérer leur projet en ce compris sur le plan budgétaire, en présentant des documents modifiés (fiche-projet et budget) intégrant, le cas échéant, un ou plusieurs opérateur(s) mais démontrant, dans tous les cas, que la cohérence du projet et les objectifs visés sont maintenus.
Ce type de modification est considéré comme une modification majeure et nécessitera l’accord du Comité de Pilotage du programme.
Il est toutefois obligatoire que le partenariat reste transfrontalier (franco-belge).
7Même si ce type de changement est déconseillé, il est envisageable de changer de chef de file au cours de la mise en œuvre du projet.
Ce type de modification qui est à argumenter, est considéré comme une modification majeure et nécessitera l’accord du Comité de Pilotage du programme.
Les procédures pour la présentation du dossier au dit Comité seront présentées et discutées lors d’un Comité d’Accompagnement.
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Suivi financier / Éligibilité des dépenses
1Les frais de personnel ne sont pas plafonnés pour les versants français. Sur les versants flamand et wallons, un plafond de 100€ / heure est d’application.
En outre, Sur versants flamand et wallon, le nombre d’heures prestées annuel est plafonné à 1720 heures.2Ce taux est calculé par projet et par déclaration de créances, donc pour le semestre de référence.
3Oui, si ces frais de déplacement sont dûment justifiés,la dépense est bien prise en charge par l'opérateur et le nom de la personne est repris dans un procès-verbal de comité d’accompagnement.
4Oui, ces salaires sont éligibles au même titre que les autres salaires, à la condition que la dépense soit réellement supportée par l’opérateur.
5La time-sheet est à signer par la personne qui preste les heures et par un supérieur hiérarchique.
6Le coût salarial du personnel détaché par un tiers pour l'exécution d'activités du projet auprès de l’opérateur est subsidiable de la même manière que celui du personnel régulier à condition que le coût salarial soit pris en charge par l’opérateur lui-même.
Ensuite, deux conditions :
- avoir une convention entre l’opérateur et l’employeur et que celui-ci communique les informations utiles pour le calcul de l’imputation des coûts affectés au proje
- avoir un flux financier entre l’opérateur et l’employeur (la structure qui met à disposition le personnel en question) pour que la dépense soit réellement supportée par l’opérateur.t7Oui, la time-sheet doit être complétée pour l’ensemble du personnel affecté au projet, quel que soit le taux d’affectation.
8Oui, s’ils participent à la mise en œuvre du projet, qu’une lettre de mission est réalisée, que les salaires sont effectivement supportés par l’opérateur et qu’ils sont affectés à minima à 15% ETP par semestre.
9Les consommables de laboratoire sont éligibles : dans la catégorie des frais d’équipement, s’ils sont liés à un équipement dont les coûts (achat ou amortissement) sont imputés au projet ; s’ils ne sont pas liés à un équipement acquis/amortis dans le cadre du projet, ce sont des frais liés au recours à des compétences et à des services externes (fournis par un organisme autre que le bénéficiaire de l'opération).
10Oui, si cet animal est indispensable à la réalisation du projet. De même, les dépenses relatives à son entretien sont éligibles. Ces dépenses peuvent être présentées, à titre exceptionnel, dans la catégorie « dépenses d’équipement ».
11Les dépenses relatives à la rédaction et au montage des pré-projets et des projets ne sont pas éligibles. Les frais de traduction ne le sont donc pas non plus.
12Non, les frais de coordination du projet sont à charge du chef de file et ne peuvent faire l’objet d’une refacturation.
13Les frais de repas de midi ne sont éligibles que dans le cadre de réunion d’une journée complète. Les frais de repas du soir ne sont quant à eux éligibles que lorsqu’ils sont accompagnés d’une nuit d’hôtel.
14Oui, un opérateur peut prendre en charge les frais de déplacement d'un autre.
15Les personnes qui travaillent sur un projet sans y être affecté financièrement peuvent présenter des frais de déplacement. Une liste des personnes concernées doit être actée au PV du comité d’accompagnement.
16Oui, les formations sont éligibles dans le cadre du projet, pour autant qu’elles soient en lien avec le projet.
17Non, l’indexation n’est pas soumise à autorisation s’agissant d’une disposition légale.
18Le personnel affecté à moins de 15% d’un ETP n’est pas éligible.
19Le défraiement de jobiste est à introduire dans le poste « Frais de services externes ».
20Si une dépense n’était pas prévue dans la fiche-projet, il est toujours possible que celle-ci soit prise en compte si le principe de cette dépense est validé par un comité d’accompagnement.
Une demande préalable dument justifiée doit donc être réalisée avant toute mise en œuvre.
21Toute modification du coût salarial de la personne qui engendre une modification du coût horaire (indexation, augmentation de salaire, modification du statut du salarié, …) doit être notifiée au contrôleur et validée par celui-ci, avec les documents requis pour permettre le calcul relatif à l’adaptation du coût du salarié.
22Les frais de déplacement doivent être correctement documentés par les pièces suivantes pour le contrôleur de premier niveau :
- Type de réunion ou programme de l’événement ;
- Tickets de transport ;
- Factures payées ;
- Note de frais détaillant les trajets parcourus (date, lieu de départ et d’arrivée, nombre de kilomètre parcourus, objet du déplacement) ;
- Preuves du paiement.23Pour pouvoir valoriser des frais de personnel dans une déclaration de créance, une personne doit prester au minimum 15% d’un ETP au cours du semestre.
24Ce type de dépense doit être introduit dans le poste « Frais de services et expertises externes ».
25Le calcul du taux d’affectation d’une personne sur un semestre tient compte des heures réellement prestées sur le projet et des heures prestées dans la structure tel que repris sur sa fiche de paie et ce, mois par mois.
Il est donc possible qu’en cas d’absence prolongée, 15% d’un ETP ne soient pas atteints.
Une dérogation à ce seuil minimum des 15% pourra être acceptée via l’application d’un prorata dans les seuls cas suivants : entrée ou départ de service au cours du semestre, grossesse, maladie (maladie grave et/ou chronique comportant un traitement prolongé), licenciement.26Une lettre de mission est nécessaire si le contrat de travail qui lie la personne à la structure ne fait pas mention de son activité sur le projet.
27L’acquisition d’un smartphone ou tout équipement utile à la mise en œuvre du projet doit être introduit dans le poste « Equipement » si cela été prévu au moment du dépôt de la fiche-projet. Le cas échéant, une demande de modification mineure peut être faite lors d’un comité d’accompagnement.
28Les avantages des packages salariaux sont couverts par le coefficient multiplicateur qui permet de calculer le coût horaire.
29Les primes de fin d’année et congés payés sont couverts par le coefficient multiplicateur qui permet de calculer le coût horaire.
30Il n’y a pas de changement pour la déduction des points APE suite au changement de méthode de calcul. Les points APE doivent toujours être déduits du montant calculé, en proportion du temps effectivement presté. Exemple : si un travailleur est affecté au projet à hauteur de 75%, 75% du montant des APE devra être déduit du montant affecté, lui-même calculé sur base de coût horaire.
31Le salaire réel figurant sur la première fiche de paie présentée dans la déclaration de créance doit être utilisé.
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Suivi financier / Marchés publics
1Oui, sauf impossibilité (à justifier), une consultation de plusieurs fournisseurs ou prestataires doit être faite. Une comparaison sur catalogue est aussi acceptée, si elle en précise la date.
2Oui, un marché public peut être passé par plusieurs opérateurs, Un seul doit être désigné comme « pouvoir adjudicateur » et le cahier des charges (ou la demande de prix) doit stipuler clairement l’identité des autres opérateurs supportant la dépense ainsi que la répartition de prise en charge des coûts, qui doivent être facturés distinctement.
3Non, dans ce cas, le partenaire qui passe et attribue le marché doit fournir à l’ensemble des opérateurs concernés par ce marché, copie de l’analyse des offres qui aura été réalisée pour choisir l’adjudicataire ainsi que la lettre de notification ou autre document probant d’attribution du marché. Ces éléments constituent des pièces justificatives à joindre à la déclaration de créance qui reprend cette dépense. En outre, dès que le contrôleur de 1er niveau de l’opérateur qui aura attribué le marché aura établi son certificat de validation des dépenses pour le semestre supportant les coûts de ce marché, l’opérateur veillera à transmettre à ses partenaires ce document aux autres partenaires, qui pourront ainsi le fournir à leur propre contrôleur de 1er niveau, susceptible de le leur réclamer.
4Oui, c’est bien à l’intérieur d’un même projet qu’un opérateur « partenaire » ou « associé » ne peut répondre à un marché.
5La procédure de marché à sélectionner doit correspondre au montant total qui sera payé à un même prestataire ou fournisseur.
L’opérateur doit donc, avant de passer un marché, envisager la prestation ou la fourniture sur la durée totale de son projet.
6Dans le cas d’un marché conjoint quel qu’il soit, il est demandé qu’une convention de passation de marché commun soit passée entre les opérateurs participants au marché afin d’établir clairement la répartition des coûts entre partenaires.
7Si l’opérateur a passé des marchés publics pour différents services, il suffit qu’il justifie du cadre légal initial de passation des marchés.
Les marchés, liés au projet, peuvent donc ensuite être attribués à ces prestataires.
Toutefois, le programme INTERREG ne peut vous contraindre à utiliser ces marchés.
8Le montant estimé correspond au montant que les opérateurs envisagent pour une prestation de service et le montant attribué est celui qui correspond au montant notifié.
Toutefois, le choix du mode de procédure se fait sur base du montant estimé. Si le montant attribué est plus conséquent que le montant estimé et que le mode de procédure n’est plus adapté, l’ensemble de celle-ci doit être refaite.
9Dans tous les cas, une justification de cette exclusivité doit être apportée (et devra être fournie au contrôleur de 1er niveau). Comme l’indique la législation relative aux marchés publics qui prévoit ce cas de figure, celui-ci doit être motivé, notamment dans les formulaires d’application pour les opérateurs wallons.
10L’avis de l’administration fonctionnellement compétente doit toujours être justifié. Si celui-ci est réservé, à charge de l’opérateur de lever les doutes et, le cas échéant, de revoir son cahier des charges.
11Cela peut être réalisé mais l’administration fonctionnellement compétente devra néanmoins cautionner l’analyse des offres.
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Suivi financier / Déclaration des créances
1Ce taux de 12,5 % doit être calculé hors subvention publique. Il sera calculé sur les frais effectivement validés.
2Oui. Il bénéficiera également automatiquement de 12,5 % de frais administratifs et de bureau.
3Une dépense non introduite dans la déclaration créance du semestre concerné doit obligatoirement être introduite dans la déclaration de créance suivante, en précisant clairement le semestre au cours duquel le dépense a été payée.
4Tous les opérateurs partenaires sont tenus de déposer leur déclaration de créances semestrielle afin de permettre la validation du rapport d’activité du projet. Seuls les cas exceptionnels de manquement d’un opérateur pourront être examinés par le Comité d’accompagnement à condition d’être dûment justifiés.
5Dans le cas où un opérateur n’a aucune dépense à introduire, il ne doit compléter aucune déclaration de créance. Il devra néanmoins valider le broadcast prévu à cet effet dans l’application de gestion, afin que l’assistance technique et le contrôle de 1er niveau identifient bien qu’il ne s’agit pas d’un oubli.
6Non, cette procédure n’est pas d’application dans le cadre du programme Interreg FWVL 2014-2020.
7Ce mode de paiement est autorisé mais le virement bancaire reste privilégié. Un ticket de caisse daté/livre de caisse et, si le ticket ne le précise pas, une indication sur l’achat doit être fournie afin de pouvoir identifier la dépense réalisée.
8Non, ce cas de figure restant relativement exceptionnel, aucune modification n’est prévue.
9Le chef de file a l’obligation de demander à ses partenaires la preuve de réception de leur part FEDER afin de pouvoir les mettre en ligne dans l’application de gestion, à la rubrique « Déclaration de créances consolidée ».
10Au moment de la transmission de la déclaration de créances via l’application de gestion, il est demandé de transmettre par courrier à l’attention du contrôleur de premier niveau 2 exemplaires papiers signés.
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Suivi financier / Contrôles
1Si la dépense est rejetée par manque de justification, elle peut être représentée accompagnée des bons justificatifs le semestre suivant. Par contre, si elle est refusée car jugée inéligible, elle ne peut pas être réintroduite.
2Le système de contrôle de premier niveau pour le versant français reste basé sur l’externalisation. Les porteurs de projet devront choisir leur contrôleur à partir d'une liste de prestataires habilités par la Région Hauts-de-France. Cette liste est fournie aux opérateurs par la Région après approbation du projet en Comité de Pilotage.
Chaque partenaire de projet sélectionne un contrôleur par le biais d'une mise en concurrence avec le prix comme critère unique. -
Suivi physique
1Le retrait ou l’ajout d’un partenaire associé (sans contribution financière) constitue une modification mineure, à acter dans le procès-verbal du Comité d’accompagnement du projet.
Application de gestion
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Application de gestion
1Oui, les différentes personnes d’une même entité rattachées à un projet disposent chacune de leur login et mot de passe pour l’accès à l’application de gestion, avec des droits et fonctionnalités liées à leur profil. Seul le responsable financier a accès à la rubrique « Dépenses et recettes ».
2Non, les codes d’accès sont personnels, et valables pour tous les projets sur lesquels la personne est impliquée pour toute la durée du programme. Il convient d’éviter d’en demander de nouveaux si un login a déjà été attribué (lors du dépôt d’un nouveau projet par exemple) !
3Oui, les codes d’accès sont générés à toute création de nouveau profil pour une même structure, à hauteur de 6 personnes maximum, dont obligatoirement : un/e Responsable juridique (ou légal pour les signatures), un/e Responsable de projet (coordinateur/trice et référent /e), un/e Responsable financier/e (seul/e à avoir accès à l’onglet des « Dépenses et recettes »).
4L’opérateur a la possibilité de changer chacun des responsables identifiés :
Soit en sélectionnant une personne dans le menu déroulant proposé. Cette personne gardera alors ses codes d’accès à l’application de gestion (login et mot de passe) ;
Soit en ajoutant une nouvelle personne, qui recevra automatiquement des codes d’accès à l’application.5Non, l’application de gestion constitue une plateforme de dépôt de projets et de leur suivi une fois acceptés mais n’est pas configuré comme un espace d’échanges entre opérateurs.
6Non, pour des raisons de confidentialité, chaque déclaration de créances n’est accessible qu’au responsable financier de la structure concernée.
7Il n’y a pas de système de signature/authentification au dépôt de la fiche projet. Les documents officiels tels que les conventions et les déclarations de créances doivent être signés par le Responsable juridique sur une version papier puis scannés pour être téléchargés en ligne dans l’Application de gestion.
Communication
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Général
1Au sein d'un portefeuille, chaque projet constitutif doit avoir son propre volet communication qui regroupe toutes les actions de communication développées à l'échelle du projet. Le projet pilote reprend lui, les actions de communication développées à l'échelle du portefeuille.
2Le module de travail « communication » est l’un des 2 modules obligatoires de la fiche-projet. Ce module doit présenter des actions relatives au plan de communication du projet et assurer la publicité du programme ; conférences de presse, plaquettes de présentation du projet, site internet…ainsi que la valorisation des résultats propres au projet. Cette communication doit en outre respecter impérativement les indications reprises dans le guide communication en matière de logos et mention du programme.
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Evénement de lancement des projets
1Ces manifestations peuvent prendre différentes formes : une conférence, une journée d’information, une exposition, un communiqué de presse, une visite de terrain , etc. L’important est que l’événement soit adapté au public-cible.
Dans le cadre d’un événement transfrontalier, l’accent doit être mis sur : le caractère transfrontalier du projet, l’inscription dans le cadre d’un programme européen, les résultats transfrontaliers du projet et leur impact sur le territoire de coopération, et enfin, l’accueil d’un public-cible transfrontalier.
En cas de doute par rapport à l’organisation d’un événement, les opérateurs peuvent prendre contact avec leur Equipe technique référente ou la chargée de communication du programme. En effet, chaque événement de lancement est différent et excepté les grands principes de base, il n’existe pas d’obligations particulières. L’important est de pouvoir justifier les choix opérés.2Non, dans la première année.
3Oui. Cependant, la plupart des événements de lancement des projets ont lieu indépendamment. Dans le cas d’un portefeuille de projets, ou de projets complémentaires, il peut être cohérent de réaliser un événement conjoint.
4A priori, non, à moins qu’une communication et une visibilité spécifiques au projet ne soient prévues. Tout dépend de la forme que l’événement prend. Dans certains cas, il est en effet cohérent d’organiser un événement conjoint par rapport au public présent, le but étant d’avoir un maximum d’impact lors du lancement du projet.
5Oui. Chaque projet doit être lancé et clôturé officiellement lors d’une manifestation. Cela peut se faire conjointement avec un des autres projets du portefeuille.
6L’organisation bilingue est encouragée. Si des opérateurs flamands sont impliqués, les communications doivent être bilingues Français-Néerlandais. Dans le cas d’un partenariat franco-wallon, le français uniquement est accepté.
L’anglais peut être employé si les deux langues officielles du programme sont déjà utilisées ou si les opérateurs peuvent réellement le justifier (ex : public cible ou presse spécialisée anglophone présente). -
Supports de communication
1Le kit communication du programme est fourni à l’opérateur chef de file au début du projet par antenne référente de l’Equipe technique. C’est lui qui transmet les éléments disponibles à l’ensemble de ses partenaires.
Les opérateurs peuvent disposer de matériel supplémentaire. Celui-ci est à enlever auprès de l’antenne de l’Equipe technique référente pour le projet. Les quantités sollicitées doivent être en rapport avec l’événement organisé et seront arrêtées en accord avec l’antenne de l’Equipe technique.2Oui mais les dépenses liées à la conception de ce nouveau logo ne seront pas éligibles.
Il est tout de même requis d’afficher le logo fourni par le programme sur tous les supports de communication. Si un nouveau logo est créé, chaque support de communication affichera donc deux logos différents pour le projet.3Quelles sont les éléments obligatoires à communiquer sur les supports de communication des projets ?
Le logo du projet fourni par le programme, la mention du soutien FEDER sont obligatoires sur tout support de communication.
4Oui, c’est en général une obligation. Il est toutefois utile de se référer aux règles émises par chacun des cofinanceurs concernés.
5L’anglais peut être employé si les deux langues officielles du programme sont déjà utilisées ou si les opérateurs peuvent réellement le justifier (ex : événement international).. Il est préférable que la décision soit actée dans le PV du Comité d’accompagnement.
6Le poster doit être affiché de façon visible dans les locaux de chaque opérateur du projet. Les opérateurs associés peuvent mais ne sont pas obligés de les afficher.
Les posters ne doivent pas forcément être en bilingues sur le même document. Il est donc possible de réaliser deux posters séparés (un en français et un en néerlandais). Les partenaires peuvent uniquement afficher le poster de leur langue.
Remarque : un modèle est proposé dans la boîte à outils sur le site du programme. Si l’opérateur n’utilise pas le modèle proposé, il devra faire valider celui-ci par le Comité d’accompagnement du projet. -
Site web du projet
1Pendant la période de programmation, le site web est évidemment obligatoire, doit être actualisé régulièrement et doit rester en ligne. Le site du projet doit servir d’outil pour diffuser les résultats du projet une fois terminé.
Dès 2025, le site peut être mis offline mais les informations doivent être enregistrées sur un support externe et doivent pouvoir être accessibles jusqu’au 31 décembre 2030.2Oui, c’est une obligation. Plusieurs formats sont proposés dans la boîte à outils communication sur le site du programme. La bannière doit renvoyer vers le site http://www.interreg-fwvl.eu/ lorsque l’on clique dessus.
3De manière générale, oui. Cependant, dans le cas d’un portefeuille de projets, certains projets constitutifs franco-wallons ne travaillent qu’en français. Si le projet pilote souhaite remonter les articles d’un de ces projets sur son propre site web bilingue, il est envisageable de ne traduire uniquement que les titres et résumés des articles concernés.
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Indicateurs de communication
1Dans les rapports d’activités, c’est la valeur réelle de la période analysée (six mois) qui fait l’objet du rapport. Ce n’est donc pas un cumul. Vous pouvez disposer des données de fréquentation de votre site web via Google Analytics (outil gratuit).
2Il n’existe pas de sous-catégorie par réseau social (Facebook, Twitter, LinkedIn,…) dans le rapport d’activités. Il faut par conséquent choisir un indicateur « global » (ex : nombre d’abonnés, nombre de posts,,…) et faire la somme de cet indicateur pour tous les média sociaux dont vous disposez.