Le partenariat d’un projet peut évoluer au cours de sa mise en œuvre : retrait ou ajout d’un ou plusieurs opérateurs.
En cas de faillite d’un opérateur, les opérateurs doivent reconsidérer leur projet en ce compris sur le plan budgétaire, en présentant des documents modifiés (fiche-projet et budget) intégrant, le cas échéant, un ou plusieurs opérateur(s) mais démontrant, dans tous les cas, que la cohérence du projet et les objectifs visés sont maintenus.
Chaque opérateur doit conserver toutes ses pièces justificatives sous format papier jusqu’au 31 décembre 2030, date ultime à laquelle un contrôle sur place peut intervenir.
Oui, pour autant que les règles de mise en concurrence soient respectées. Ce n’est par contre pas autorisé entre opérateurs (partenaires et associés) d’un même projet.
Des avances FEDER ne sont pas prévues. Chaque cofinanceur a ses propres règles en la matière et doit dès lors être consulté.
Pour les micro-projets, une avance équivalente à 50% du subside FEDER sollicité, est versée automatiquement au chef de file, après que la convention Feder ait été signée par toutes les parties.
Si le projet n’atteint pas les résultats indiqués dans la fiche de projet approuvée, cela n’entraînera pas automatiquement le remboursement de l’aide européenne pour autant que les opérateurs puissent le justifier. Si, toutefois, les opérateurs n’ont pas épuisé tous les moyens pour parvenir au résultat souhaité ou si le Comité d’accompagnement constate des manquements graves dans le chef des opérateurs, le Comité de pilotage du programme peut décider de récupérer (une partie de) l'aide européenne.
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