Programme de coopération transfrontalière

avec le soutien du Fonds Européen de Développement Régional

Les frites ont la patate !

Mercredi, 1 août, 2018

Le saviez-vous ? Nous fêtons la Journée Internationale de la frite belge en ce 1er août ! À cette occasion, le programme vous fait part de 3 anecdotes sur cette spécialité culinaire incontournable de la Belgique et vous présente l’un de ses projets.

Belges ou françaises ?

Le terme « french fries » hérisse le poil de plus d’un belge. L’explication pour ne pas attribuer l’invention de la frite aux Français serait qu’en réalité, l’expression proviendrait des Irlandais puisque l’adjectif « French » en vieil irlandais signifierait « coupé en morceaux ». Aucune référence à la France donc, mais tout simplement aux pommes de terre coupées en morceaux.  

Plus grande consommatrice de frites au monde

Sans surprise, le titre est attribué à la Belgique ! En effet, une famille belge en consomme jusqu’à 16 kilos par an. En 2016, le pays produisait 4.4 millions de tonnes de pommes de terre transformées, lui conférant également le titre de plus grand exportateur mondial de frites surgelées. 

Frite belge : mode d’emploi

Une vraie frite belge doit tout d’abord être taillée en bâtonnet de 1cm de côté. Ensuite, elle subit une double cuisson : d’abord à 160°C pendant 5min, puis à 180°C dans un bain de graisse de bœuf, traditionnellement. On la sert ensuite dans un cornet, agrémentée de toutes les sauces possibles et imaginables.

 

Tout en restant dans le thème de la pomme de terre, cette journée est également l’occasion de vous présenter le projet de recherche VEG-i-TEC. Porté par l’Université de Gand dans le cadre de l’axe 1 du programme « Améliorer et soutenir la collaboration transfrontalière en recherche et innovation », VEG-i-TEC élabore une plateforme technologique pilote destinée à la filière de transformation des fruits, des légumes et des pommes de terre.

 

Avec le soutien du Fonds européen de développement régional

Les partenaires du projet VEG-i-TEC évaluent alors les technologies innovantes des industriels en fonction de la qualité du produit final (impact sur la durée de conservation, qualités organoleptiques et visuelles, sécurité alimentaire), de la conception hygiénique des lignes de transformation, et de la consommation d'eau et d'énergie. Cette approche pluridisciplinaire permet d'apporter une réponse complète aux entreprises, grâce à la prise en compte de l'impact économique, environnemental (durabilité) et/ou social de ces technologies.

Quelle soit utilisée en cuisine ou serve à la recherche, la pomme de terre fait patate !